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Soutenir le projet

Comment aider le peuple kichwa de Sarayaku ?

Il existe de très nombreuses façons d’aider le peuple Kichwa de Sarayaku et de soutenir
le projet Frontière de Vie. Toutes sont essentielles.

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Soutenez le groupe Atayak et ses activités !

Le groupe qui gère la Frontière de Vie, le centre de santé Sasi Wasi,
la colline médicinale,l’école alternative et autres projets.

Vos versements, ponctuels ou permanents, à Frontière de vie – Belgique

Triodos BE03 5230 4151 6984

Le peuple de Sarayaku vous remercie !

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1. Parrainez un arbre

Vous pouvez acheter, de façon ponctuelle, un ou plusieurs bons de parrainage. Il en existe de différentes valeurs : 5, 10, 20 ou 50 euros ou plus… Vous parrainez ainsi directement un des arbres de la Frontière de Vie.

Le mieux, si cela vous est possible, est de faire un virement permanent, mensuel, pour un montant même minime. En effet, des rentrées régulières permettent au peuple de Sarayaku de mieux planifier son action.

2. Soyez responsable de votre arbre !

Tout comme un parrain attentionné, tenez-vous au courant du développement de votre arbre, et de la Frontière dans son ensemble. (Voir rubrique Dernières nouvelles)

Parlez-en autour de vous ! Faites connaître le projet en utilisant vos contacts, vos réseaux.
C’est en devenant une vaste chaîne humaine que la « Frontière de Vie » prendra tout son sens et toute sa force. Pour cela, nous avons rassemblé un certain nombre de documents vidéo disponibles sur DVD. Ceux-ci peuvent vous permettre d’en savoir plus et servir de support d’information pédagogique pour diffuser l’information autour de vous. (Voir la rubrique Ressources pédagogiques)

3. Participez !

Que vous soyez seul ou en groupe, organisez ou participez, dans votre région, à des activités de soutien:

  • diffuser et relayer l’information sur Sarayaku au plus grand nombre.
  • organiser ou co-organiser un ciné-club ou une soirée d’information.
  • tenir ou aider à tenir un stand lors d’une manifestation environnementale ou humanitaire.
  • distribuer des tracts sur le cas de Sarayaku quand vous vous rendez à une manifestation sur des thèmes proches (le document existe, il suffit de l’imprimer et de le distribuer, voir pdf joint)
  • nous proposer une activité originale. Ainsi, en 2005, un professeur d’école secondaire, à Braine le Comte, a mis au point avec ses élèves un spectacle sur l’Amazonie présenté en fin d’année aux parents. Les rentrées de la soirée sont parties à Sarayaku…

Si vous souhaitez vous engager en tant que bénévole aux cotés du peuple Kichwa de Sarayaku, nous vous invitons a prendre connaissance du projet via notre folder pdf : télécharger le pdf

Bulletin de parrainage pour la France

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Pourquoi votre aide financière est importante ?
Et comment elle va être utilisée?

Nos interlocuteurs comprennent parfois mal pourquoi de l’argent est nécessaire pour planter
la « Frontière de Vie ».

En Amazonie, pensent-ils, les arbres ne coûtent rien et les indiens n’ont pas grand-chose d’autre à faire. Il est donc important d’expliquer que la communauté de Sarayaku, qui fait face depuis 10 ans aux problèmes générés par les tentatives d’exploitation pétrolière, est soumise à des pressions et des difficultés énormes.
Aussi tous les « jeunes » (les jeunes adultes), scolarisés et formés un tant soit peu au monde occidental, sont sur occupés sur les fronts médiatiques et juridiques. De très nombreux déplacements, très coûteux, sont nécessaires (sortir de la forêt, aller à Puyo puis à Quito, se rendre à des réunions avec des dirigeants d’autres communautés etc…)

L’avionnette est la façon la plus rapide d’entrer et de sortir de Sarayaku. Exclusivement gérée par une compagnie privée, elle a un coût très important.

Concernant la Frontière proprement dite, accéder à une clairière dans la forêt puis la replanter avec des arbres particuliers représente à chaque fois une expédition éprouvante. Chaque « clairière » demandera au minimum le travail de 6 personnes pendant un mois. Certaines de ces clairières seront situées à plusieurs centaines de kilomètres de Sarayaku, au travers de la forêt vierge.

Et durant tout ce temps, ces personnes choisies parmi les plus fortes et endurantes de la communauté ne pourront ni chasser ni pêcher pour leurs familles.

Ceux qui sont allés sur place savent que là rien n’est simple ! Il est donc clair que la « Frontière », dans ses différents aspects, ne pourra se créer qu’avec une aide financière significative, durable et continue…

Des estimations ont d’ores et déjà été faites.

On sait ainsi qu’une clairière représente en moyenne un coût global de 5000 euros (incluant essentiellement l’infrastructure logistique, les transports, l’outillage, la nourriture, le soutien aux familles etc…). L’ouverture des clairières les plus lointaines nécessitera un équipement spécial (dont un canot à moteur). Le projet total (qui s’étale sur plus de 10 ans) prévoit l’ouverture d’une soixantaine de clairières (qu’il faudra entretenir pendant le temps de croissance). On voit l’ampleur du projet !

30.000 euros seront ensuite nécessaires pour le projet de Centre de pratique et de maintien des traditions SASI WASI, pour son équipement, le programme de collecte des savoirs, ainsi que les structures d’accueil et d’hébergement.

Nous espérons que ces éléments permettent de mieux comprendre toute l’importance de l’aspect financier du projet.

Pour atteindre ces sommes, nous comptons essentiellement sur la vente des bons de parrainage.

On comprendra aisément pourquoi nous avons besoin du soutien de tous et de nombreuses associations !

Seuls, nous ne pourrons rien.